Paris Violence Ungern Sternberg
Paris violence Ungern Sternberg Le baron chevauche à travers les steppes dâ Asie Au gré de ses rêves de gloire et de folie Se sacrer souverain Dâ un Empire oublié Puis tracer ses frontières à coups dâ épée Des cascades de sang jaillissent sur le passage De lâ étrange division sauvage Et les cosaques chargent, un seul cri dans la voix Ce soir nous aurons pris Ourga Et UngernSternberg se jette dans la mêlée Le sabre pointé vers le couchant Ou contemple la plaine de la muraille enneigée Le visage fouetté par le vent Dans son regard dâ acier, un soleil qui se lève Rayonnant des brumes sibériennes Avec la beauté triste dâ un songe qui sâ achève A mille lieues des convulsions humaines UngernSternberg, chevalier romantique Tu attends la mort comme un amant sa promise
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