Bruno Pelletier Jme voyais plus
J me voyais plus dans les miroirs depuis longtemps Car la beauté du désespoir ça va un temps Vagabonder c est monotone et l on s en lasse De nettoyer а l acétone les plus belles traces J me voyais plus traîner des sacs pendant des mois Car l errance tout seul ça détraque c qui reste de soi Sous la faïence y a les blessures celles qui nous rongent Qui nous lancent des S. O. S pour qu on y songe À qui je pense quand le rideau s abaisse Pour que j espère encore, pour que j attende À qui je
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