Gustave Flaubert franc maçon
Ni sa soeur, ni sa nièce, ni Commanville, ni la bonne ni personne ne savait que dans ses papiers, il y avait un petit texte qu on a retrouvé y a pas si longtemps, daté : samedi 12 juin 1858, minuit. Et ce petit texte sous la main de Flaubert, c était rien d autre, en une petite ligne, qu une prière : Ayez pitié de ma volonté, Dieu des âmes. Donnezmoi la force et Alors, voyezvous, laissonsle, sur cette terrasse, là, le nez dans les étoiles; sur cette terrasse où il est tout et où je pense qu il n est pas tout seul Ces paroles d Henri Guillemin résonnent au plus profond de moi. Quel plus vibrant hommage fraternel pouvaiton prononcer en mémoire de Gustave Flaubert
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